D F#m
D F#m
D F#m
Trop longtemps, 100 fois trop longtemps que j'suis tout seul
D F#m
À fumer jusqu'au bout du filtre blanc chaque menthol
Em Bm
À regarder l'océan qui convole
A
Avec les yachts de ces millionnaires, débonnaires
G
Qui pissent, le ventre à l'air, dans la mer
D F#m Bm
Si tu suis mon regard, tu verras des doutes
D F#m Bm
Des gens qui partent tard, tard au bord de la route
Em A
Tu verras le soleil qui recule d'un pas
Em A
Qui devient vert bouteille et comment c'est chez moi
D F#m
Trop longtemps, 100 fois trop longtemps que j'suis tout sale
D F#m
Que j'attends quel que soit le temps qui m'est fatal
Em Bm
Que je regarde le grand mur blanc qui se décale
A
L'amour est un éphémère glace et verre
G
Qui casse dès qu'il est triangulaire
D F#m Bm
Si tu suis mon regard, tu verras des doutes
D F#m Bm
Des gens qui partent tard, tard au bord de la route
Em A
Tu verras le soleil qui recule d'un pas
Em A
Qui devient vert bouteille et comment c'est chez moi
D F#m Bm
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
D F#m Bm
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Em A
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Em A
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
N.C
Chez moi
D F#m
Trop longtemps, 100 fois trop longtemps que j'suis tout seul
D F#m
Tout seul, tout seul
D F#m
Trop longtemps, 100 fois trop longtemps que j'suis tout seul
D
Tout seul, tout seul, tout seul
F#m
Tout seul, tout seul
D F#m Bm
Si tu suis mon regard, tu verras des doutes
D F#m Bm
Des gens qui partent tard, tard au bord de la route
Em A
Tu verras le soleil qui recule d'un pas
Em A
Qui devient vert bouteille et comment c'est chez moi
D F#m Bm
Si tu suis mon regard, tu verras des plaines
D F#m Bm
Des taxis et des gares, gares, gare à la migraine
Em A
Tu verras tout vermeil, tu verras tout plus bas
Em A
Tu liras tout Verlaine, tu rentreras chez moi
A
Chez moi, chez moi, chez moi tout est plus bas
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